Nous étions en train de tester un nouveau médicament quand le téléphone a sonné.
Toulouse, depuis quelques temps déjà, voyait son nombre de malades augmenter de façon exponentielle au rythme des virus disséminés dans les librairies toulousaines (Ian Manook, Eric Maravélias, Solenn Colleter, Michaël Mention, Philippe Georget, Ayerdhal, Jean-Marie Dumarquez et Guérineau).
Nous avons débarqué en gare de Matabiau au plus fort de la pandémie. Là de nombreux malades, hagards, erraient entre les trains. Assistés par Les Pictographistes qui volaient l'âme des cas les plus graves afin de les purifier, et épaulés par les remèdes mis à notre disposition par le prix Polar SNCF, nous avons réussi à endiguer le flot avant de nous rabattre sous le chapiteau de Basso Cambo.
Là, 5 équipes d'auteurs et de bénévoles participèrent au mythique Quizz des Fondu Au Noir.
Là, 5 équipes d'auteurs et de bénévoles participèrent au mythique Quizz des Fondu Au Noir.
Mais le plus dur nous attendait les jours suivants. Dehors il faisait beau, à l'intérieur l'organisation TPS avait réussi à isoler les virus les plus virulents. Et c'est sans relâche que nous avons oeuvré pour la gloire de notre médecine et le bien de nos patients.
De nombreuses ordonnances furent délivrées alors que nous tentions de contenir les hordes de contaminés qui revenaient d'un rallye organisé par Benoit Séverac. Plusieurs litres de bières, de vin, de punch et de mojito furent utilisés au plus fort de la crise.
Trois jours n'ont pas été de trop et nous avons fait ce que nous avons pu.
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